Tu l'attends depuis toujours, si c'est un roman d'amour.Faut provoquer l'étincelle…Et les mots crois-moi Pour ça y' en a pas. Décide toi embrasse la! J'aurais pu lui dire je t'aime un million de fois par seconde. Mais lui n'étais pas décidé à me demander de sortir avec lui. J'avais quinze ans et je vivais à Auckland en Nouvelle-Zélande, mon père avait le métier de rêve et il n'était jamais à la maison ce qui voulait dire que je pouvais faire ce que je voulais. Je voulais profiter de mon adolescence mais j'ai rencontré Danny, je l'ai aimé au premier regard, il n'était pas populaire, timide et incroyablement gauche. Fan de BD et de jeux vidéo mais je m'en fichais. « Danny ? » m’avançant vers lui dans un couloir, il était beau, vous savez- D'une beauté qu'on ne voit pas tout les jours. Je ne comprenais pas pourquoi personne ne l'avait remarqué avant « Tu.. tu connais mon nom ? » lui faisant une petit tape sur l'épaule avant de lui faire mon plus beau sourire. Un an plus tard « Tu est ma plus belle chose » il était mon présent, mon future je voyais ma vie avec lui, son sourire et ses mots réconfortant, j'en étais folle amoureuse, mais je ne lui l'avais encore jamais dis, j' attend ce moment spécial ou ce mot sort tout seul, quand on se sens près à le dire. Je l'avais présenté à mon père, même lui qui n'aime personne avait adorer Danny. Grâce à notre relation Danny avait évolué en société il était toujours fan de ses trucs mais il en parlait moin sauf avec moi mais, il aimait passer du temps avec mes amis, il a même rencontré mon frère aussi qui vit avec ma mère, on ne le voit jamais et je crois que c'est mieux peut-être. Danny s'entendait bien avec tout le monde vraiment. Le monde était parfait... alors pourquoi j'ai reçu ce téléphone ? Un vendredi soir à 22hoo tapante sa mère m'annonçait que son fils, mon Danny était mort dans un accident de voiture, je lui est dis que c'était pas possible, il ne devait pas sortir ce soir il avait des partiels à réviser. Il venait me voir, moi. Après l’appelle de sa mère j'ai téléphoné à ma meilleur amie pour qu'elle vienne me chercher. Une fois à l'hôpital ou il était, on ma laissée seul avec lui, je n'osais pas le regarder j'avais cette boule dans la gorge qui à fini par éclaté. Je n'avais jamais pleuré comme ça mais le voir là, allonger sur le lit, sans bouger avec les appareils éteint. Je me suis assise sur le lit à coté de lui, posant ma tête sur son torse « Je t'aime ! » puis je suis partie, je ne pouvais pas rester, je n'ai même assisté à l'enterrement quelques jours plus tard, je ne pouvais physiquement pas le voir dans un cercueil. Mon père à décidé de me faire changer d'aire, ont donc déménager, il a compris que je ne voulais pas rester ici et que je serais partie par mes propres moyens.

Parfois on a besoin de faire une grosse bêtise pour se rendre compte qu’on était sur le mauvais chemin À vingt ans j'ai décidé de quitter la maison de mon père, je ne le supportais plus, il me rabaissait sans cesse. À cause de ça j'ai décider d'arrêter mes études. N'ayant pas mon permis de voiture j'ai décider de quitter Chicago à pied, prendre l'avion aurait été trop facile à mon père de me retrouver ! Mais à pieds c'était vraiment pas une bonne idée, à peine ai-je quitter la ville que j'étais déjà perdue. Puis j'ai fais du stop et en finalement deux semaines j'ai réussis à rejoindre New-York et à partir de là j'ai vraiment commencer une nouvelle vie, chez mon frère dans un premier temps qui avait déjà son propre appartement, puis chez moi, j'ai emménager dans l'appartement du dessus un immense loft que mon père payait malgré lui, il ne voulait pas voir sa fille finir à la rue. Et j'essayais de reprendre mes études, j'étais douée on me la montré. Les langues, j'aimais ça apprendre toute les langues qui était possible d'apprendre. J'ai commencer ma dernière année à l'université de New-York, ce n'étais pas celle que je voulais mais bon il ne me restais qu'un an à tiré alors c'étais mieux que rien. Je n'avais toujours pas de permis de conduire donc je faisais mes transports avec mon frère ou alors en transport commun, mais sincèrement le bus me faisait peur, tout ces gens agglutiner les uns et les autres vers les portes de peurs de louper leur arrêts, alors que moi si je le loupais, je mettais mes écouteurs et je descendais au prochain, je marchais et j’arrivais en retard. Après vint et un an à ne jamais être ponctuel on fini par ne plus faire attention et c'est vraiment la dernière des choses qui me ferait de la peine.

On a pas besoin d’un conte de fée, on a juste besoin de quelqu’un avec qui on est bien. Je commenças ma semaine avec une gueule de bois, comme si le soir d'avant j'avais avait bu tout l'alcool du monde entier. aujourd'hui je n'avais pas cours mais, je devais aller à la bibliothèque pour chercher des livres pour mes devoirs, des lunettes de soleil sur les yeux je marchais difficilement dans les couloirs tout en surveillant si un prof était là-où non. Cars être dans cet état dans une université tel que New-York ça n'était pas parfait. Après de longues minutes j'arrivais enfin à la bibliothèque donnant une liste à une standardiste qui allais me chercher mes livres. Le temps de boire un café que mes livres étaient déjà là et timbré avec la date retour qui était la semaine d'après. Depuis que j'avais perdu Danny je n'étais plus pareille. Passant une main dans mes cheveux, j' essuyais une larme qui passait en dessous des lunettes et sortit en trombe de la bibliothèque, traversant les couloirs le regard fixé sur le sol je ne vis pas la personne me rentrer dedans. « Tu peux pas faire attention non? » relevant la tête pour regarder qui m'étais rentré dedans mais, ce visage lui était inconnu. Reprenant mes livres je n'attendis même pas que le jeune homme ce soir excusé. « Pardon.. » mais j' étais déjà dehors. Voilà huit mois que j'ai recommencé les cours et je me suis entourée d'une bande d'amis proches. Ils étaient connu de toutes l'université, car ils étaient beaux et surtout étranger ce qui attirait la curiosité des élèves américain. Mais surtout un, était attiré tout court par ce groupe d'amis. William c'était en quelques sortes promis qu'il appartiendrait à ce groupe très bientôt. N'allez pas croire que William est le petit rejeter de l'université loin de loin, c'est un joueur de foot hors-pair, il est d'ailleurs capitaine de l'équipe de foot, une multitude de personne s'agglutine toujours devant lui mais, des amis véritables il n'en a aucuns c'est comme les liaisons durables il ne connait pas ce mot.

Tu es parfait, mais je suis débordée à essayer de coller ma vie avec du scotch et de la glue.

Après plus d'une année, j'avais enfin fini l'université et William également, nous habitions ensemble d'ailleurs. ça fait environs trois mois que nous vivons ensemble, je le considère comme mon meilleur ami, mis je sais que de son coté il y a plus et du mien il y a tellement plus qu'une amitié. Mais je n'arrivais pas à être avec lui, j'avais peur de perdre une nouvel fois une personne que j'aime. En faite nous sortons ensemble, plus clairement c'est ça. Mais ce n'est pas officiel, je ne l'ai pas présenter à mon frère et on ne sait pas encore embrasser mais nous faisons tout ensemble. Il vient même dormir chez moi, même si on ne couche pas ensemble j'ai besoin de le sentir ver moi. Peu d'homme attendrais quelqu'un comme ça, mais lui il ne dit rien, il comprend. Pour mon anniversaire, il m'offre cette croisière et je suis vraiment heureuse de vivre ce moment, j'ai ramener mon frère aussi dans le même voyage, car on a beaucoup de temps à rattraper.